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Rafaële MAMANE

Elle a horreur de dire elle pour dire je – mais elle se plie au jeu. Ici, elle dira elle.

Après tout, elle est une princesse. Elle est Princesse Petrouchka

Poète et Danseuse de poèmes
Poèmes dansés, chantés, parlés et taillés à la main

Elle fait partie du collectif : "Le syndicat des poètes qui vont mourir un jour".
Invitée à divers festivals, elle a par exemple
dansé pour Les Editions Gros Texte et publié au sein du recueil de poésies Je ne voudrais ennuyer personne du même éditeur.

En ce moment, elle écrit trois livres en même temps parce que son cerveau ne parvient pas à se calmer avec un seul sujet. Quand elle écrit, elle réfléchit en même temps à comment mettre dans son corps et autour de son corps, comment mettre dans sa voix, dans le son, dans le décor. Et alors, qu’elle réfléchit, il y a des images qui apparaissent parce que son âme ne parvient pas à se calmer en respectant les découpages à l’occidentale. Son âme, elle est totale, elle veut tout. Et son âme, elle s’en fout si ça prend du temps. Son corps, lui aime dormir. Sa tête se fâche. Son cœur, la rassure, lui dit je t’aime Rafa Chérie, danse avec le temps.

Dense, elle aime aussi – très fort – créer
Des moments d’expression, des moments de rencontre
Sensible, Intellectuelle, Humaine, Corporelle. Cœurporelle.
Entre
Objets artistiques, quotidiens, singuliers ou totalement normés
Et
Femmes, hommes, enfants,
Femmes, hommes, enfants qui ne voient pas avec les yeux
Femmes, hommes, enfants qui n’entendent pas avec les oreilles
Femmes, hommes, enfants qui se déplacent autrement qu’avec leurs pieds
Femmes, hommes, enfants qui sentent, pensent et agissent autrement
Tout ça. Mélangé.
Rafaële Mamane Mamanifique pour Pétrouchka Mamane

Publications en cours :
 
-Le souffle de Dieu, Il te manque, Il te manque le souffle de Dieu
Florilège de mégots de clopes à consonance biblique
Ensemble de Textes, images et création vivante
 
-Sa robe de mégots de clopes
Pour la création vivante malodorante
 
-Un peu avant l’amour, un tout petit peu. Je m’apprête à respirer
Recueil de poèmes d’avant l’amour
 
-Extrait de philosophie Balaïste
Extrait parce qu’elle aimerait bien aboutir à ces trois projets avant sa mort

Publications : va bientôt publier

Parutions : va bientôt paraître

Disparations : n’a plus l’intention de disparaître

Collaborations : est en cours de collaborations

Monstrations : est en train de se montrer

Menstruations : ne considère pas cette appellation comme pertinente et révélatrice du cycle cosmique féminin

Aller à Sion : Veut aller à Sion en expérimentant toutes sortes de moyens de locomotion

Discussions : Aime palabres et discussions, surtout celles qui portent à complication, elle les considère comme des exercices privilégiés d’amour et d’harmonisation

Contradictions : De moins en moins, de plus en plus. Mais si on y réfléchit bien, elles sont absolument nécessaires à son évolution

Altérations : Cerveau gauche sous-efficient, soumis à de modestes perturbations

CQFS : il y a des faits sur lesquels on ne peut pas rigoler avec elle. Elle se prend pour un oiseau et pense parvenir, un jour, par la grâce de son esprit, à faire de ses pieds, des pieds d’éléphant. Enfin on peut en rigoler, mais vraiment ça ne serait pas très gentil.

Nadia MIFSUD-MUTSCHLER

Nadia Mifsud est née à Malte en 1976. A 22 ans, elle part s’installer en France où elle termine ses études avant d’enseigner la langue et la littérature anglaises. Traductrice et conteuse, elle participe à plusieurs programmes – en France et à Malte – visant à promouvoir la littérature et encourager la lecture auprès des enfants et des adultes. Nadia Mifsud écrit en français des histoires pour enfants et des textes en prose pour adultes, mais son domaine de prédilection reste la poésie, qu’elle écrit en maltais. Son premier recueil de poèmes, żugraga, a été publié en décembre 2009.



Laurence VIELLE


Elle est née à Bruxelles en 1968. Elle y vit toujours. Son père est suisse, sa mère est flamande. Elle aime les montagnes et la mer du Nord. Comédienne, auteure, metteure en scène et poète, elle dit les mots, surtout les écritures d’aujourd’hui.

Elle a reçu de nombreux prix (prix de la première œuvre en Communauté française de Belgique pour “Zébuth ou l’histoire ceinte”, récit, le prix du spectacle jeune compagnie pour “Ecrits bruts” en 2001, et le prix de la fiction radiophonique sacd 2003 pour “Ça y est, je vole!”). Elle a également: suivi des stages avec Dario Fo, Alfredo Arias (Copi), Anatolii Vassiliev (Platon), Isabelle Pousseur (Heiner Muller); joué dans plusieurs films, dont “Tous à table” et “Des heures sans sommeil” d’Ursula Meier, (prix de la meilleure comédienne au Festival de Clermont, 1999); créé des moments radiophoniques; enregistré avec la compagnie Carcara, Jean-Michel Agius et Matthieu Ha, le disque “Voix d’eau”, produit par le théâtre Paul Eluard, à Choisy le Roi. Elle anime divers ateliers d’écriture et récolte les paroles dites par les autres qu’elle retranscrit minutieusement pour en faire des spectacles (en compagnonnage avec d’autres artistes) qui donnent à entendre la parole de ceux qui passent, anonymes, dans les villes - tentative de créer du lien.


Parutions


  • Zébuth, ou, L'Histoire ceinte, 1997
  • L'Imparfait, 1998
  • L'Incroyable histoire du grand Gelbe : conte sous-lèvres, ou, l'histoire de Gelbe et de Léna, 1999
  • Dame en fragments : monologue à quatre voix, 2000
  • Pièce d'eau : poème brisé pour une danse, 2004
  • Récréation du monde, 2006
  • Entretien avec Anne Molitor : un morceau d'une vie au service des artistes et des artisans de la scène, 2007
  • Bonjour Gaston, 2010
  • Du Coq à Lasne : épopée pour la scène, documentaire poétique, 2012

NATYOT

Artiste pluridisciplinaire, passionnée des mots, de musique et d'art, architecte et chanteuse, performeuse et auteur, Nathalie Yot a un parcours hétéroclite à l'image de son écriture.
Nathalie Yot est née à Strasbourg en 1966 et vit à Montpellier. Elle est diplômée de l’école d’architecture en 1992 mais préfère se consacrer à la musique (auteur compositeur interprète signée chez Barclay) puis à l’écriture poétique. 
D’abord dans le domaine de l’érotisme, elle publie Erotik Mental Food chez L’Harmattan (2008) et deux nouvelles Au Diable Vauvert (Prix Hémingway 2009 et 2010). Elle prend le pseudonyme de NATYOT. 
Elle explore ensuite d’autres thèmes, ne laissant de coté ni l’intime, ni la chair car elle dit beaucoup d’elle, fait le tour de son isolement, toujours avec la même intensité. Elle obtient une bourse de la région Languedoc Roussillon pour D.I.R.E son deuxième recueil (Gros Textes mai 2011). 
Elle se tourne également vers des projets théâtraux (dont le Total Local Poétic Club, laboratoire poétique où se mêlent diverses disciplines artistiques à la recherche de corrélation), anime des ateliers d’écriture, publie davantage en revue, est invitée à dire ses textes en France comme à l’étranger (Voix de La Méditerranée, BIPVAL, Expoésie, Voix Vives, Poésie Marseille, Parole spalancate / Italie, Poésie en arrosoir / Suisse, International Music Youth festival / Chine) seule ou accompagnée.
Elle publie Bois, Putes, Oiseaux en 2013 toujours chez Gros Textes. 
Pendant quatre ans, elle fut chargée de mission par la Mairie de Montpellier pour le Printemps des poètes (Festival « Les Anormales » de la poésie repris en 2014 dans le festival Tropisme). 

Site Internet : erotikmentalfood.midiblogs.com



Bibliographie Non Exhaustive :
  • Comme un des mortels, coauteur Charles Pennequin, éd. MaelstrÖM, 2014 (poésie).
  • Bois, putes, oiseaux, éd. Gros Textes, 2013 (poésie).
  • D.I.R.E, éd. Gros Textes, 2011 (poésie) (livre-CD).
  • John de Vauvert, in Le Frère de Pérez et autres nouvelles du Prix Hemingway 2009, collectif, éd. Au diable vauvert, 2010 (nouvelles).
  • Juan Vita, in Brume et autre snouvelles du Prix Hemingway 2010, collectif, éd. Au Diable Vauvert, 2010 (nouvelles).
  • Notopos, anthologie collection Biennale internationale des poètes en Val de Marne, 2010 (poésie).
  • Erotik mental food, éd. L'Harmattan, 2008 (nouvelles).
  • Anthologie des Voix de la Méditerranée, éd. du Clapas, 2008 (poésie).

Katia BOUCHOUEVA

Katia Bouchoueva (Boutchou), née à Moscou (URSS), en 1982.Depuis 2002, elle vit à Grenoble. Aime beaucoup cette ville. Aime aussi courir de l’autre côté de la vie : remonter et descendre, descendre et remonter, en éprouvant une déception joyeuse. Balançoire en somme.

A publié : quelques textes dans des magazines littéraires russes Unost’, Novaja Unost’, sur le site Polutona ; en français – dans les revues Bacchanales, Microbe, L’Intranquille.

Publications :

  • C’est qui le capitaine ? , éditions l’Harmattan, janvier 2010
  • Numéro D146 – Guichet 12 – œuvres d’Yves Olry, livre d’artiste, éditions Color Gang, mai 2014
  • Tes oursons sont heureux, éditions Color Gang, à paraître en automne 2014

Brigitte BAUMIE

Née en 1958, musicienne et écrivain, Brigitte Baumié mène en parallèle la pratique de la composition électroacoustique et l’écriture poétique (plusieurs recueils en cours). Elle anime des ateliers de lecture et d’écriture pour tous les publics. En perte d’audition depuis dix ans, elle travaille avec des artistes sourds à la traduction d’œuvres poétiques en langue des signes et anime des ateliers de création poétique en français et LSF. Elle a créé plusieurs spectacles poésie et musique, a réalisé la « mise en sons » et a collaboré à la réalisation de « films dessinés » de Pierre Duba. Elle vit dans l’Hérault où elle anime avec Michel Thion, poète, l’association Arts Résonances.

Publications :
  • Pour le reflet d'un oiseau, éditions Color gang, 2015
  • États de la neige, éditions Color gang, 2011
  • J'ai tué, ça existe pas, éditions Color gang, 2010
  • La traversée des abandons, illustrations Pierre Duba, éd. 6 pieds sous terre, 2007 (BD)
Créations musicales :
  • Les oreilles plissées, voyage dans l’univers sonore des sourds, création au festival Son Miré (Aude) 2008.
  • Création musicale et bande-son pour le film « à Kyôto, cinq tableaux d’eau » de Pierre Duba, 2004-2007.
Spectacles :
  • Homère par mots et par gestes 2009 et 2010 avec Philippe Brunet et Olivier Schétrit.
  • L’os qui voyage (spectacle jeune public). Stabat Mater furiosa (sur un texte de Jean-Pierre
  • Cheyne ou vivre en poésie (sur des textes publiés par Cheyne-Éditeur).

Sarah KERYNA

Née le 29 décembre 1972.
Au théâtre, actrice chez François-Michel Pesenti, Agnès del Amo, Danièle Bré, Claude Esnault, Franck Dimech, Huber Colas ; auteur de Comme des araignées mortes écrasées au fond des assiette monologue pour une actrice. 
Lectures et mises-en-espace (cipM, Machine à coudre, théâtre du Petit Matin, Bibliothèque de l'Alcazar, Théâtre de la Minoterie, Centre Montevidéo), seule et avec d'autres poètes (5 sans edith).
Séminaires de traduction (Ruoko Sekigushi, Peter Gizzi, Joan Retalack, Nanni Balestrini).
Animation d'ateliers d'écriture en milieu scolaire.
Résidence d'auteur à la Chartreuse de Villeneuve-les-Avignon (Bourse du CNL, théâtre, juillet 2002).
Lauréate de la onzième biennale des jeunes créateurs de Méditerranées, Athènes, juin 2003.
Lauréate de la 9è Biennale internationale des poètes en Val-de-Marne (2007).
Monteuse et mécanicienne de la revue Camion, présidente des éditions Sonato.


Publications : 
• Point de fuite, éditions Fidel Anthelme X, 2001.
• On a toujours été séparés, éditio, Fidel Anthelme X, coll. "La motesta", 2005.
• Les miettes, éditions précipitées, 2007.
• Rappel, le Bleu du ciel, coll. "Biennale internationale des poètes en Val-de-Marne", 2007.
• Point de fuite suivi de D'un lieu, éditions Fidel Anthelme X, coll. "La motesta", 2010.
• Samedi, je m’en irai, Joca Seria, collection Extraction, à paraître.

En revues : 
• In "Nioques", numéro 1.4.
• In "If", numéros 15 et 24 .
• In "Monsieur Thérèse".
• In "Action Poétique" numéro 182.
• In "Dirigeable" (revue Russe).
• In "Le Cahiers du Refuge".
• In "CCP".

En ligne :
Rotor, Runbook, Myopies.

Perrine LE QUERREC


Perrine Le Querrec est née à Paris en 1968. Elle hante les bibliothèques et les archives pour assouvir son appétit de mots et révéler les secrets oubliés. De cette quête elle a fait son métier : recherchiste. Les heures d’attente dans le silence des bibliothèques sont propices à l’écriture, une écriture qui, lorsqu’elle se déchaîne, l’entraîne vers des continents lointains à la recherche de nouveaux horizons. Perrine Le Querrec est une auteure vivante. Elle écrit dans les phares, sur les planchers, dans les maisons closes, les hôpitaux psychiatriques. Et dans les bibliothèques où elle recherche archives, images, mémoires et instants perdus. Dès que possible, elle croise ses mots avec des artistes, photographes, plasticiens, comédiens.


Parutions 
Poésie
  • « La Ritournelle », éd. Derrière la salle de bains, 2015
  • « Pour en finir avec Ali », éd. Derrière la salle de bains, 2015
  • « La Patagonie », éd. Les Carnets du Dessert de Lune, 2014
  • « Casa Mollino », éd. Derrière la salle de bains, 2014
  • « Le prénom a été modifié », éd. Les Doigts dans la prose, 2014
  • « L’Initiale », éd. Derrière la salle de bains, 2014
  • « Silence je me noie », éd. Derrière la salle de bains, 2013
  • « De la guerre », éd. Derrière la salle de bains, 2013
  • « No control », éd. Derrière la salle de bains, 2012
Romans de prose et de poésie :
  •  « L’Apparition », éd. Lunatique, avril 2016
  • « Têtes blondes », (nouvelles) éd. Lunatique, 2015
  • « Le Plancher », éd. Les Doigts dans la prose, 2013
  •  « Jeanne L’Étang », éd. Bruit Blanc, avril 2013
  •  « Coups de ciseaux », éd. Les Carnets du Dessert de Lune, 2007
Pamphlets :
  • « Pieds nus dans R. », éd. Les Carnets du Dessert de
  • « Bec & Ongles », éd. Les Carnets du Dessert de Lune, 2011

Samantha BARENDSON

Née en 1976 en Espagne, de père italien et de mère argentine, Samantha Barendson vit aujourd'hui à Lyon et travaille à l'École Normale Supérieure.


Comme elle, ses textes voyagent d’une langue à une autre. Après avoir étudié la littérature hispano-américaine à l'Université Lumière Lyon 2, et plus particulièrement les nouvelles de Cortázar et l'absence de ponctuation dans L’automne du patriarche de Gabriel García Márquez, elle se consacre à la traduction puis à l'écriture.


Auteur de poésie et de pièces de théâtre, elle aime surtout travailler avec d’autres poètes, peintres, illustrateurs, photographes ou musiciens.


Elle aime ensuite déclamer, crier, hurler ou chanter ses textes sur scène, un peu frustrée de n’être pas une chanteuse de tango.

Avec Frédérick Houdaer, Michel Thion, Béatrice Brérot, Brigitte Baumié, Pauline Catherinot, Yve Bressande, Grégoire Damon, Bernard Deglet, Paola Pigani et Melchior Liboà, elle fait partie du Collectif : "Le syndicat des poètes qui vont mourir un jour" dont le principal objectif est de promouvoir la poésie pour tous et partout. 

Elle fait partie des cinq auteurs français engagés dans le projet européen Versopolis.




Poésie :




  • Le citronnier – recueil de poésie, Ed. Le pédalo ivre, juin 2014
  • Le combat, avec Jean de Breyne – recueil de poésie, Collection Duos, 2012
  • Des coquelicots / Amapolas – recueil de poésie, Le pré # carré éditeur, décembre 2011
  • Les délits du corps / Los delitos del cuerpo – recueil de poésie, Ch. Chomant éditeur, décembre 2011

    Anthologies :
  • Un printemps sans vie brûle, Anthologie sur Pasolini, Éditions la Passe du vent, 2015
  • Voix de la Méditerranée, Anthologie poétique, Éditions la Passe du vent, 2014
  • La terre vue du slip, anthologie poétique illustrée, Éditions Macana, novembre 2013
  • La (petite) culotte dans la poésie contemporaine, Éditions Macana, novembre 2012
  • Cross a la Mandíbula / Direct dans la mâchoire, Nuit Myrtide, novembre 2011
  • Enfants d'Italiens, quelle(s) langue(s) parlez-vous ? Géhess éditions, août 2009
  • Voix argentines, L'arbre à paroles, automne 2008

    Livres d'artiste :
  • Le frêne, avec Jean-Marc Scanreigh, mars 2014
  • Le mur, avec Max Partezana, février 2014
  • Horizonts / Horizontes, avec Max Partezana, L3V, 2013
  • Une feuille fermée, avec Max Partezana, avril 2012
  • Chartae Memoriae, avec Max Partezana, janvier 2012
  • El vuelo de la muerte, avec Aaron Clarke, août 2011
  • Empreintes ferroviaires, avec Max Partezana, juillet 2011
  • Paysage alcaloïdes, avec Max Partezana, juillet 2011
  • De rouges coquelicots, avec Max Partezana, juin 2011
  • La esencia de un recuerdo / L'essence d'un souvenir, avec Mathieu Devavry, 2010

    Ainsi que diverses publications dans des revues de poésie (Art le Sabord, Verso, le Journal des poètes, Écrits du Nord, Pyro, L’arbre
    à paroles, Microbe, Poekia, etc.).

    Théâtre :
  • Silence de Plume, mise en scène Manuel Pons, L'eukaryote theatre avril 2012
  • À te regarder, ils s’habitueront, mise en scène Manuel Pons, théâtre des Asphodèles, 31 mai 2011

    Jany PINEAU

    Qui est Jany Pineau ?

    "Écrire un poème, c’est facile. Il suffit de laisser entrer quelques papillons et de ne pas faire de bruit. C’est joli, un papillon. Ça volète, ça ne brusque pas, ça frémit, ça effleure, ça se pose sur des mots légers qui prennent des couleurs arc-en-ciel, ça caresse l’esprit. La main suit, docile.
    Mais parfois, le poème s’échappe. Il se tord. Il n’est pas tranquille. Les papillons s’affolent. Tout se dérobe, se bouscule, dégringole. Elle est là, tapie dans un coin, tache noire. Tu l’aperçois du coin de l’œil. Ta main s’active, qui essaie de redonner du sens. Mais elle a déjà commencé à tisser sa toile. Les papillons sont piégés, les mots s’engluent, se figent, le cœur s’accélère, l’esprit se débat, l’obscurité s’installe. L’araignée envenime la raison et la main épuisée trace des mots noirs aux pattes velues.
    Écrire un poème est devenu un combat."

    Parutions :
    • Avec dessus dessous, Jany Pineau, Gros textes, 2015
    • En train de dérailler, Asphodèle, 2013

    Murièle MODELY

    Murièle Modély est née en 1971 à Saint-Denis, à l’île de la Réunion et vit maintenant à Toulouse. Bibliothécaire de profession, elle commence à explorer l’écriture poétique sur son blog avant de participer à des revues telles que Nouveaux Délits, Les tas de mots, Poème sale, Microbe, ou encore Traction Brabant.

    Publications
    • Je te vois, éditions du Cygne, 2014
    • Rester debout au milieu du trottoir, éditions Contre-ciel, 2014
    • Penser maillée, éditions du Cygne, 2012

    Mélanie LEBLANC

    Mélanie Leblanc est née en 1980 et vit en Normandie. Elle participe à Poésie dans(e) la rue et au CoPo. Publications dans les revues N4728, Décharge, Verso, Traction-Brabant, Terre à ciel et Comme en poésie. Prochainement dans Triages et Recours au poème. Avec l’artiste Samuel Buckman, elle a réalisé 4 livres pauvres pour la collection « jamais ». 
     
    Mélanie Leblanc est née en 1980 et vit en Normandie. Elle participe au CoPo (programmation de Place à la poésie, soirées poétiques, prix) et à l’association Détournements (festival Poésie dans la rue à Rouen). Publications dans les revues N47, Décharge, Verso, Traction-Brabant, Comme en poésie, Terre à ciel. Textes à paraître chez Triages. Elle anime son blog : melanie-leblanc.tumblr.com - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/po%C3%A8tes/m%C3%A9lanie-leblanc#sthash.sw3spejR.dpuf
    Mélanie Leblanc est née en 1980 et vit en Normandie. Elle participe au CoPo (programmation de Place à la poésie, soirées poétiques, prix) et à l’association Détournements (festival Poésie dans la rue à Rouen). Publications dans les revues N47, Décharge, Verso, Traction-Brabant, Comme en poésie, Terre à ciel. Textes à paraître chez Triages. Elle anime son blog : melanie-leblanc.tumblr.com - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/po%C3%A8tes/m%C3%A9lanie-leblanc#sthash.sw3spejR.dpuf
    Mélanie Leblanc est née en 1980 et vit en Normandie. Elle participe au CoPo (programmation de Place à la poésie, soirées poétiques, prix) et à l’association Détournements (festival Poésie dans la rue à Rouen). Publications dans les revues N47, Décharge, Verso, Traction-Brabant, Comme en poésie, Terre à ciel. Textes à paraître chez Triages. Elle anime son blog : melanie-leblanc.tumblr.com - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/po%C3%A8tes/m%C3%A9lanie-leblanc#sthash.sw3spejR.dpuf

    Alexandra KALYANI

    Auteur mais pas que...


    Parutions :

    • texte Comme une au sommaire du quatorzième numéro de la revue Barillet.
    • textes Meubles insensibles, N'a qu'un œil et Pu sur le site L'Asile au Bout du Zinc.
    • texte Ne _ pas fait l'objet du centième numéro de la revue lorem_ipsum.
    • textes Chaleur humaine et #pascesoir au sommaire du recueil Marlène Tissot & compagnie.
    • texte Comme une au sommaire du quinzième numéro de la revue Sarrazine.
    • troisième partie du texte N'a qu'un œil au sommaire du septième numéro de la revue Les Corrosifs.
    • seconde partie du texte N'a qu'un œil au sommaire du sixième numéro de la revue Les Corrosifs.
    • première partie du texte N'a qu'un œil au sommaire du cinquième numéro de la revue Les Corrosifs.
    • texte Ne _ pas sur le blog [l'humanité.].
    • texte Comme une sur la page d'accueil du Wizzz de Télérama.

    Séverine CASTELANT

    Séverine Castelant est née en 1978 en région parisienne. Elle est aujourd’hui enseignante en Aveyron. Elle tente dans sa vie personnelle de conjuguer la pratique de l’écriture, de la danse contemporaine et des arts en général. Elle a publié quelques poèmes dans Le Livre à disparaître, Revue Paysages Ecrits, Le capital des mots et Cohues. Ancienne animatrice de la revue 17secondes, elle a fondé Gelée Rouge en février 2013.


    Dernier titre paru : Marlène Tissot et Compagnie (mgv2-publishing, 2015, collectif.)

    Isabelle BONAT-LUCIANI


    "Je peux affirmer une seule chose : je m’appelle Isabelle Bonat-Luciani
    Je vis à Montpellier.
    Je crois avoir une préférence pour les correspondances, les adresses, entre un recueil qui attend de rencontrer son destinataire, le « Cher toi » et les Cartes postales qui pourquoi pas un jour, trouveront elles aussi un endroit où se poser.
    Parfois, quand Sébastien Rongier lance des Disparitions sur remue.net, j’aime commettre les miennes et les voir apparaître chez eux, sur Remue.
    Parfois, j’attends que l’été passe vite parce que je sais que le 14 septembre, sortira la revue Métèque, dans laquelle, un de mes textes y a trouvé une place.
    Parfois, j’espère que la case bio pourrait s’étoffer. Qui sait.
    En attendant, je me suis crée un espace blog « L’un dans l’autre » où les Cher(s) toi s’installent et un Tumblr « Cartes postales » histoire qu’elles ne se perdent pas sur une mauvaise adresse."

    Sanda VOÏCA

    Ecrivain. A Bucarest, elle a publié dans les plus importantes revues littéraires poèmes, nouvelles, fragments de romans. En 1999, y paraît son recueil Diavolul are ochi albastri (Le diable a les yeux bleus), sous le nom d’Alexandra Voicu, aux editions Vinea. C’est aussi l’année de son arrivée en France, où elle décide d’écrire directement en français. Certains de ses textes, mais aussi des collages et des photos, ont été publiés par plusieurs revues papier (Moebius, La Page blanche, Place de la Sorbonne...) ou numériques (Terre à ciel, Ce qui reste, Recours au poème...). Depuis 2010, elle est initiatrice et animatrice, avec Samuel Dudouit, de la revue numérique Paysages.

    Poèmes en roumain : Le Diable a les yeux bleus, Editions Vinea, Bucarest, 1999.

    Présence dans l’anthologie : Elles écrivent… Elles vivent ici en Normandie, Editions Les Tas de mots, parution et présentation pour le Salon du livre de Caen, 15-18 mai 2014.

    Exils de mon exil, recueil de poèmes, Passage d'encres éditions, collection Trait court (février 2015).

    Page sur Facebook "Le livre vit" autour d'Exils de mon exil, avec les chroniques / notes de lecture publiées.

    Epopopoèmémés, Ed. Impeccables, 2015. (mars 2015)

    Poèmes, fragments de roman, notes de lectures, etc. dans plusieurs revues papier ou numériques.

    Détails dans la rubrique « Présence ailleurs » de son blog.

    Initiatrice et co-animatrice de la revue numérique « Paysages écrits ».

    Anne KAWALA

    Anne Kawala est poète en tant qu’artiste touchant à différents langages qu’elle associe, par multiplication des expériences. Issue du domaine des arts plastiques (formée aux Beaux-Arts de Lyon), elle progresse par montages, montage de l’écrit, du gestuel, de l’art plastique, du graphique, du son, du théâtre, « le caractère d’“inventaire” des méthodes et aptitudes d’écriture, l’impression première de “catalogue” constituent une fausse piste. Qu’on veuille bien prendre en considération que l’ambition est ici de fabriquer à partir de l’hétérogène. Et de fabriquer quoi ? sinon de la cohérence justement. Cette pratique use de techniques connues des arts poétiques contemporains : la contrainte ; le prélèvement ; la kyrielle... », écrit Patrick Beurard-Valdoye dans sa préface à F.aire L.a F.eui||e (Le Clou dans le Fer, 2008), le tout dans une tentative aussi peut-être de redéfinir poésie et récit. De nombreuses performances jalonnent le parcours du texte relangagé. Elle a publié également Le cow-boy et le poète (L’Attente, 2010)

    Le site d'Anne Kawala

    Mary GREA

    Née en 1982, Mary vit aujourd’hui dans un petit village au pied des vignes, près de Lyon. Elle écrit des nouvelles, des récits et des fragments depuis qu’elle a l’âge de marcher dans une rivière et d’y pêcher quelques truites. Ces deux activités deviennent indissociables au point qu’elle décolle pour vivre un temps en Nouvelle Zélande. Là-bas, elle consacre du temps aux rivières et à un travail sur le manuscrit « Au pays du long nuage blanc » de Charles Juliet, qui résonne avec son goût de raconter des moments éclairs. De retour en France, elle tisse des liens avec des explorateurs risque-tout. Elle renoue alors avec la magie du contre-courant et fabrique des textes sur le fil. 

    Publications et collaborations diverses :

    Publication de la nouvelle « D’où tu viens » (éditions des ateliers - 1998), écriture et co-réalisation d’un one man show « Pur Produit » avec JC Ramos (2008, 1er prix tremplin), en revue « L’album de Lesley », Kahel (Février 2014), sélection de textes dans l’anthologie de poésie contemporaine « l’éveil du myosotis » (juillet 2014), et à l’invitation d’Hervé Bougel, participation au projet oulipien « 36 choses à faire avant de mourir » (éditions pré#carré 2014).

    Sylvie DURBEC

    Sylvie Durbec est née à Marseille en 1952. Fait ses études à Aix en Provence, loin de la mer.
    Devient professeur de lettres et mère de quatre garçons.
    Ecrit de la poésie, regarde le temps qu’il fait, prend patience.

    Je vis et écris en province. Née à Marseille. Ville des lointains immobiles. Habite dans la campagne, en dessous du ciel. Voyage un peu depuis que les enfants ont grandi.
    Loin de Paris.
    J’écris depuis longtemps et suis publiée depuis une dizaine d’années.
    Poésie, théâtre, romans.
    Et aussi livres pour enfants, comme on dit.
    J’aime travailler avec des artistes, ne pas rester isolée dans les mots.
    Mais la solitude m’est nécessaire. Et l’éloignement. Ce qui m’a entraînée vers le Nord (Finlande, Belgique) et le Sud ( Portugal, Italie).
    Ecrire comme marcher, écrire comme avancer dans un paysage invisible.
    D’où la passion de traduire.
    Ce serait aller vers l’inconnu, celui qui se découvre à la fin de l’histoire.

    Parutions
    • Les Nuits de Vollezele, les Jours de Flandre, Cousu Main éd., 2005
    • 3, Cousu Main ed., 2006
    • Marseille éclats et quartiers, édition Jacques Brémond, 2008, prix Jean Follain
    • Comme un jardin, (BLEU), édition potentille, 2009
    • Prendre place, une écriture de Brenne, édition Collodion, 2010
    • Chaussures vides/Scarpe vuote, éditions du Dessert de Lune, 2010
    • La Huppe de Virginia, aux éditions Jacques Brémond, 2011
    • Parfois silence, éditions Le Dessert de Lune, 2011
    • Ce rouge qui brillait dans le torrent, Soutine, atelier du Hanneton, 2011

    Aurélia LASSAQUE


    Née en 1983, Aurélia Lassaque est poète de langues française et occitane. Collaborant régulièrement avec des plasticiens, danseurs et musiciens, elle a donné des lectures en Europe, au Brésil, en Norvège, en Inde dans de nombreux festivals. Ses poèmes sont traduits dans une quinzaine de langues. Engagée en faveur de la diversité linguistique, elle est conseillère littéraire avec l’écrivain Boubacar Boris Diop du festival « Paroles Indigo » à Arles sous le marrainage d’Aminata Traoré et a été responsable en 2011 de l’exposition « Dialogue entre cultures et langues » au Conseil de l’Europe. Elle s’est consacrée en doctorat à la dramaturgie occitane au XVIIe siècle.
    Parutions
    Livres d’artistes
    – Ombras de Luna − Ombres de Lune, éd. de la Margeride, 2009, (reed. 2010, 2011)
    – E t’entornes pas − Et ne te retourne pas, éd. de la Margeride, 2010
    – Lo sòmi d’Euridícia – le rêve d’Eurydice, éd. les Aresquiers, 2011
    – Lo sòmi d’Orfèu – le rêve d’Orphée, éd. les Aresquiers, 2011
    – La ronda del fènix ‒ La ballade du phénix, éd. de la Lune bleue, 2012
    – D'aucèls sens cara –Des oiseaux sans visage, éd. les Monteils, 2013

    Recueils
    – Cinquena Sason, Letras d’oc, 2006
    – Solstice and Other poems, trad. James Thomas, Francis Boutle Publishers, 2012
    – Pour que chantent les salamandres, éditions Bruno Doucey, 2013.

    Fabienne BERGERY

    40-45 ans
    160 cm - 52 kg
    Yeux Marron verts - Cheveux Bruns
    Langues : Francais, Langue Maternelle
    Métier : Silhouette

    Parutions :

    • On ne peut pas ou Mes petites évidences, Color Gang, 2004

    Laure MORALI

    Laure Morali a reçu ce prénom pour rappeler à son père le laurier de sa terre natale, l’Algérie. Ses parents se sont rencontrés à Lyon où elle a vu le jour en 1972 et trois ans plus tard, ils se sont installés dans une presqu’île de la Côte d’Émeraude et d’Armor, le pays des femmes du côté maternel. Elle a grandi enveloppée du mouvement des marées, ce rythme à jamais imprimé dans le corps. La mer lui a appris à se fondre au monde et naturellement, elle l’a suivie. De l'autre côté de l'horizon, à Montréal où elle vit, Laure écrit pour entendre le souffle de la mer. Écrire, pour elle, c'est emprunter un chemin de sable lumineux dans l’eau émeraude, rejoindre l’île ; se laisser entourer.

    Ses livres, recueils de poèmes, romans ou récits, tissent une longue histoire de nomadisme portée par la même voix : La mer à la porte (La Part commune, 2001) La route des vents (La Part commune, 2002 ; 2015), La terre cet animal (Mémoire d’encrier, 2003 / La Part commune, 2004), Traversée de l’Amérique dans les yeux d’un papillon (Mémoire d’encrier, 2010), Comment va le monde avec toi (Publie.net, 2013), Orange sanguine (Mémoire d’encrier, 2014 / La passe du vent, 2015)… Voyage que prolongent les films qu'elle réalise et les anthologies qu’elle dirige : Aimititau ! Parlons-nous ! et Les bruits du monde (Mémoire d’encrier, 2008 ; 2012).  Elle anime des ateliers d’écriture (Mingan mon village, poèmes d’écoliers innus, illustrés par Rogé, éditions de la Bagnole, 2012). 

    Parutions en poésie
    • Orange sanguine, Mémoire d'encrier, 2014 / La passe du vent, 2015 La
    • Terre cet animal, Mémoire d’encrier, Montréal, 2003 / La Part commune, Rennes, 2004

    Laurence LOUTRE-BARBIER

    Laurence Loutre-Barbier exerce le métier d’éditeur à Lyon depuis long­temps et est char­gée de la com­mu­ni­ca­tion de plu­sieurs com­pa­gnies de théâ­tre à Paris et à Lyon. Auteur, pho­to­gra­phe à l’air libre et raconteuse, elle mêle la poésie à ses inves­ti­ga­tions socia­les avec la préoc­cu­pa­tion de se mouiller et d’incar­ner les gens mal visi­bles ou mal vus, leur absence par­fois. Depuis 2006, elle par­tage avec les Roms de Lyon ce destin qui est le leur, sur un ter­rain citoyen et amical. Il en résulte : Zurali ! (poésie et musi­que, témoi­gna­ges à l’évocation crue et poé­ti­que de des­tins aux valeurs humai­nes hors du temps). En 2010, à la cham­bre mor­tuaire d’un grand hôpi­tal pari­sien où elle tra­vaille plu­sieurs jours par mois pen­dant deux ans, elle ren­contre ceux qui offi­cient en un lieu reculé de notre cons­cience, lieu par­ti­cu­lier d’exclu­sion. Paraît : La der­nière cham­bre, Fage éditions (textes et pho­to­gra­phies). En 2011, le ter­rain de la migra­tion et plus spé­ci­fi­que­ment les tra­ver­sées en mer et les fron­tiè­res infor­mel­les et funes­tes à fran­chir sont à l’ori­gine de : Ressac (poésie et musi­que, expo­si­tion pho­to­gra­phi­que). Production Cimade, fes­ti­val Migrant’scène. En 2012 : Pulsatile (inté­rieur femme) (poésie et musi­que) Production Fêtes Lumière à Valence. Toujours préoc­cu­pée par les voya­geurs en quête de terres d’accueil, Loutre-Barbier se frotte au tabou de la pros­ti­tu­tion et du deve­nir des femmes migran­tes, pros­ti­tuées et vieillis­san­tes. En résulte : Les Marcheuses (poésie et musi­que, expo­si­tion pho­to­gra­phi­que) Production Cimade, fes­ti­val Migrant’scène et Les espa­ces inquiets (expo­si­tion pho­to­gra­phi­que, Oujoupo, Lyon). En 2013, Loutre-Barbier par­ti­cipe à la créa­tion de Nous sommes tous des hommes ! avec la com­pa­gnie Les Artpenteurs (poésie et musi­que) Production du fes­ti­val Itinérance Tsiganes. En 2014, elle réa­lise un repor­tage pho­to­gra­phi­que sur les 20 ans d’insur­rec­tion zapa­tiste au Chiapas (Mexique). Puis, en 2015, elle s’ins­talle un temps à Bénarès, la cité mor­tuaire indienne, pour écrire et pho­to­gra­phier.


    Nicole PEYRAFITTE

    Artiste multimédia, Nicole Peyrafitte est originaire de Luchon dans les Pyrénées Gasconne du Haut Comminges. Elle vit entre Brooklyn, New York, et le petit village pyrénéen de Bourg d’Oueil.
    Nicole Peyrafitte est autodidacte, elle considère que chaque étape de son travail est une tentative de satisfaire un besoin d’apprendre par immersion, plutôt que par digestion ou indigestion. C’est cette quête qui génère aujourd’hui son travail qui incorpore voix, peintures, vidéos, textes, mouvements, musique et souvent cuisine.
    Elle se produit aux USA et en Europe.
    “Nicole Peyrafitte est une interprète brillante et extrêmement originale. Ses vocalisations, ses chansons, ses gestes sont provocants : à la fois éblouissants, beau et aussi déconcertants.
    Elle est la déesse chthonienne qui vient vous tenter, vous effrayer, vous transformer. Elle est dans la lignée poétique de la tragédie grecque, du Café Voltaire, de dada et des jeux surréalistes mais le tout avec une sensibilité post-moderne audacieuse. Quand elle est sur la scène je reste médusée”. —Anne Waldman

    Maxime Hortense PASCAL

    Écrivain et poète. Vit dans le Sud de la France.
    Sa production couvre un spectre allant du poème au roman, du vers à des formes plus accidentées.
    Ses collaborations avec des chorégraphes, des musiciens et des artistes contemporains (installations, arguments…) éclairent son travail d’écriture et en approfondissent les marges.
    Lectures et performances (CiPm, Ecritures Croisées à Aix-en-Provence, Festival de Lodève, ZIP, Barjols, Festival Poésie Marseille, Festival de Presque Rien etc.)



    Publications
    • Never, éditions du Scorff, roman, 2000. 
    • Point typographique délaissé, Fidel Anthelme X, poème, 2011. 
    • Beyond, CD, commande du Studio Instrumental, produit par le Groupe de Musiques Vivantes, Lyon. 
    • L’invention de la soif, Le temps des cerises, « Action Poétique », 2013. 
    • Nostos, Plaine Page, 2013. 
    • Le tambour de Pénélope, Plaine Page, 2015.